Le gouvernement français récompense le terrorisme islamique 

 Le gouvernement français récompense le terrorisme islamique 

 

eux attaques terroristes islamiques ont eu lieu en Judée-Samarie ces derniers jours. Elles ont été répugnantes et lâches, comme toutes les attaques terroristes islamiques. Une attaque terroriste islamique a eu lieu à Strasbourg en France. 

 

La presse française a fait ses gros titres sur l’attaque de Strasbourg. Elle a à peine mentionné les attaques perpétrées en Judée-Samarie. Cela a permis de ne pas avoir à lire nombre d’articles nauséabonds. Les articles auraient sans aucun doute parlé (comme ceux, rares, qui ont été publiés sur le sujet) de “colons”, de “colonies”, et de “territoires palestiniens occupés”. 

 

Les terroristes de Judée-Samarie étaient (sont) des Arabes musulmans passés à l’islamisme actif, tout comme le terroriste de Strasbourg, mais ils étaient (sont) “Palestiniens”, ce qui en soi est suffisant pour leur valoir toutes les mansuétudes de la presse française. 

 

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Chronique d’un étudiant à Columbia #5 – L’émoi et la haineÀ Columbia, la « transdisciplinarité » fait des ravages quand il s’agit d’enseigner l’histoire d’Israël, présentée comme responsable de tous les maux du monde moderne.

Chronique d’un étudiant à Columbia #5 – L’émoi et la haineÀ Columbia, la « transdisciplinarité » fait des ravages quand il s’agit d’enseigner l’histoire d’Israël, présentée comme responsable de tous les maux du monde moderne.

Par Stéphane Trano

Publié le 14/12/2018 à 10:59 | Le Point.fr

L’université de Columbia, dans l’État de New York.

En parler ou pas et, si oui, comment ? Le semestre s’achève, les étudiants se préparent au marathon des finales et l’administration peut souffler. Un camarade, déboussolé, résume la situation en me disant qu’il n’y a, de toute façon, « que des coups à prendre ». Comme tant d’autres, il constate que pour maintenir la sérénité nécessaire pour étudier dans un environnement hypercompétitif, il vaut mieux éviter certains sujets. Parmi ceux-là, il y a les Juifs et Israël. Et pourtant non, cette chronique ne porte pas sur cela, enfin pas tout à fait. Le problème va bien au-delà.

«  Transdisciplinarité  »

Car pire que la maladie, il y a l’erreur de diagnostic. Pire encore, il y a la manipulation du malade. Que se passe-t-il concrètement à Columbia ? Un nombre croissant d’étudiants se disent « fatigués » d’être confrontés, malgré eux, aux ravages de la « transdisciplinarité ». Derrière ce nom affreux et pompeux, il y a une réalité facile à comprendre et qu’un seul exemple suffit à illustrer. Cette approche pédagogique, désormais généralisée aux États-Unis, consiste à faire exploser les cadres traditionnels de l’apprentissage, pour aider l’étudiant à embrasser la complexité et la modernité du monde et à en questionner sa propre perception. Concrètement, cela s’appuie sur une série de grands thèmes devenus moteurs. Ainsi, les perspectives féministes ou la diversité des genres, désormais développés dans un département entier de Columbia, servent de grilles de lecture dans un nombre croissant de cours. On étudie par exemple, en cours de science politique, la vision féministe des relations internationales ou les apports des chercheurs LGBTQ. Et l’approche se décline en histoire, en sociologie, en sciences de l’environnement, en psychologie ou même en finances. Son corollaire est la démonstration de la domination masculine, occidentale en particulier, et de l’absurdité de la distinction des genres. De la même manière, sous la poussée des départements des Études moyen-orientales, sud-asiatiques et africaines, le besoin de « décoloniser » l’approche des étudiants s’exprime un peu partout, même dans les cours où l’on n’en voit guère la pertinence.

Le problème, dans ce modèle, est qu’il présuppose le préjugé de l’étudiant, qui serait lié à son identité, à son environnement et aux événements qui surviennent dans le monde dans lequel il vit. Je me souviens de mon tout premier jour à Columbia, en août 2016, lorsqu’un conseiller pédagogique fit remarquer au sujet du module concernant l’histoire de l’art : « Bien sûr, la majorité d’entre vous choisira l’option Chefs-d’œuvre de la culture occidentale, puisque, pourquoi donc s’intéresser à ceux de la culture africaine ? » Mais ce qui nous ramène aux premières lignes de cette chronique, c’est une autre grande obsession de Columbia : Israël.

Pour mon sixième semestre à Columbia, j’ai dû consacrer beaucoup de temps à choisir mes cours. J’avais envie d’approfondir mes connaissances sur le Moyen-Orient, puisque je me spécialise dans l’étude des différentes formes de conflits, du terrorisme et du contre-terrorisme. L’offre dans ce domaine est pléthorique, mais un fait s’est imposé graduellement à moi durant mes deux premières années. Dans la plupart des cours où le mot « Israël » risque d’être prononcé, les choses dérapent. J’ai donc consulté mes camarades, scruté les évaluations postées par les étudiants, et lu scrupuleusement les Syllabi décrivant la structure de chaque cours et ses lectures obligatoires. Je savais que suivre des cours aux Études moyen-orientales, sud-asiatiques et africaines serait une option périlleuse puisque le radicalisme y règne. Et je n’avais aucun appétit pour l’ambiance survoltée du Centre des Études palestiniennes. J’ai donc fini par opter pour deux cours, l’un en sociologie et l’autre donné sous l’égide du département des Études d’Israël et de l’Histoire juive, lequel est censé être un peu plus calme, mais pas dans le sens où le lecteur pourrait le supposer à cet instant.

Lectures révisionnistes

Dès la première session de ce cours de sociologie sur le terrorisme, où l’étude des populations israéliennes et palestiniennes servait de support central, une étudiante prit violemment à parti le professeur, l’accusant d’avoir un préjugé pro-israélien. Le professeur venait de présenter le déroulé du semestre et d’expliquer que le cours explorerait le phénomène terroriste à partir des acteurs non étatiques du terrorisme. L’étudiante s’exclama : « Je ne vois pas pourquoi vous ne considérez pas Israël comme un acteur du terrorisme puisque ce n’est même pas un État légitime et légal sur le plan international. » J’ai pensé que je devrais éviter ce cours où le feu avait pris si vite, mais je suis revenu en deuxième semaine pour vérifier cette inquiétude. L’étudiante avait, elle, disparu. Le choix validé, j’ai ensuite confirmé mon inscription au cours d’histoire sur Israël. Il était trop tard pour en changer. Je n’avais pas noté que deux des trois lectures obligatoires du cours étaient un livre de l’historien révisionniste israélien Benny Morris et l’autre, celui du « pape » des études palestiniennes à Columbia, Rashid Khalidi. Précision indispensable pour ceux qui ne seraient pas familiers avec le courant historiographique, les historiens dits « révisionnistes » ou également « nouveaux historiens » forment un courant désormais dominant dans l’enseignement universitaire aux États-Unis, né dans les années 1980, et qui comme le sens étymologique du terme l’indique, « révise » l’interprétation des archives historiques et propose au sens général une lecture alternative des faits historiques communément admis avant les années 1980, en particulier au fil de la déclassification des documents d’archives. Il a donc fallu faire avec.

Il y a eu ce jour où, pendant 1 h 15, le professeur nous a fait lire et écouter des textes et chants nationalistes israéliens de la guerre des Six Jours, violemment anti-Arabes et sans approche comparative. Il y a cet autre jour où la pensée de l’historien israélien Yeshayahou Leibowitz, obsédé par le « judéonazisme », s’est étalée. Mi-novembre, puisqu’il fallait bien en venir à l’approche transdisciplinaire, un intervenant est venu présenter l’état de la législation israélienne sur les droits LGBTQ. Il s’est vu rappeler à l’ordre au nom du « Pink washing » et une discussion un peu tendue l’a opposé au professeur après le cours.

«  Pinkwashing  »

Le « Pink washing » est très en vogue à Columbia. C’est un concept promu par l’alliance des étudiants LGBTQ, affiliée à la nébuleuse adhérente du mouvement Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS), dont l’objet est de promouvoir des sanctions contre les institutions et les entreprises israéliennes pour leur rôle dans des « politiques racistes, coloniales et discriminatoires ». Le « Pink washing » repose sur l’idée qu’Israël promeut l’avancée des droits LGBTQ afin de dissimuler ses crimes humanitaires. Le même jour où cet incident a éclaté, je me retrouvais en cours d’histoire devant un professeur abordant le contexte de la Guerre froide à travers l’exemple de l’Afrique du Sud, en soulignant avec insistance le rôle d’Israël dans le régime d’Apartheid. Pourquoi s’en étonner encore puisqu’en février 2016, 40 des plus éminents professeurs de Columbia, de toutes disciplines, avaient publié leur soutien au BDS.

Que l’on choisisse d’étudier au sein de l’Institut des études juives et d’Israël ou au Centre des études palestiniennes de Columbia est une chose. Que l’on soit adhérent au groupe des Étudiants pour Israël ou de celui des Étudiants pour la Justice sociale en Palestine est un choix qui appartient à chacun. On peut même aller plus loin, au risque de susciter des grincements de dents. Que le puissant BDS, cofondé en 2004 par un étudiant de Columbia, Omar Barghouti, qui vit et étudie aujourd’hui à Tel-Aviv, tienne chaque année la désormais populaire Semaine de l’Apartheid israélien, ne fait que refléter le succès d’une stratégie payante à travers les campus américains et dans plusieurs dizaines de pays désormais. Que les Étudiants pour Israël tentent d’y répondre – sans grand succès d’ailleurs – par des journées d’exposition sur l’histoire du sionisme, ne devrait choquer personne non plus, si l’on suit la même logique. Au bout de cette logique s’inscrit un désaccord insoluble sur la question de savoir si le propalestinisme est devenu ou non le véhicule de la judéophobie, et même, si les deux phénomènes existent réellement. La question, que j’ai posée à certains de mes professeurs, a été éludée d’un sourire puisque, comme les plus modérés le disent, on ne peut pas plaire à tout le monde. Quant à ce conseiller académique, il n’y voit que le retour de bâton d’un temps où tout ce que faisait Israël était considéré comme « formidable », reconnaissant qu’il est « peut-être un peu dommage » que l’inverse soit devenu la norme. La discussion est stérile puisqu’elle ne fait que renforcer chacun dans ses propres convictions. Mais que faire lorsque le problème nous rattrape de tous côtés ?

Malaise Lire la suite

There are six pointers to its collusion with Hamas:

 

Evidence is mounting that the extremist Tanzim wing of the Palestinian Fatah is complicit in the Hamas onslaught of terror in Judea and Samaria, which has claimed 5 Israeli lives and injured 12 in in recent weeks.

 

The clincher was the discovery of the Barkan killer, who had evaded capture for five weeks, in the Askar refugee camp of Nablus – only after Israel’s security forces caught up with another terrorist who was linked to the Dec. 9 Ofra shooting at the Sudra village in the Ramallah district.

 

Ramallah is the seat of the Fatah-ruled Palestinian Authority and the movement’s institutions. It is increasingly evident that Tanzim, Fatah’s armed wing, which was mostly dormant after the second intifada (Palestinian uprising) of 2000-2002 was defeated, is extending clandestine support to the Hamas network terrorizing Judea and Samaria in recent weeks.

 

Tanzim as a body has not pitched in with support for Hamas, only an armed faction, which recently set itself up as a paramilitary force called the “Amoudi Martyr’s Brigades.”  Its founding members are mostly intifada veterans.   

 

There are six pointers to its collusion with Hamas:

 

  1. The Hamas network’s focus on Ramallah, where it feels it can safely operate under the noses of the Palestinian Authority and its security and intelligence agencies.
  2. The new modus operandi of Hamas attacks. At the Ofra and Asaf Hill junctions, the terrorists used vehicles for shooting and a fast getaway, a method identified with Tanzim. It was first put into practice on Jan. 9.
  3. The terrorists’ ability to evade capture for unusually long periods is down to Tanzim aid in providing safe hideouts with the active complicity of more and more segments of the Palestinian population, which hitherto had little sympathy for Hamas.
  4. The Fatah – Tanzim has ordered its following in the population to aid Hamas by raising sudden road obstructions to hamper Israeli military movements, staging riots, erasing video tapes recording attacks and the presence of fugitive terrorists and giving them food.
  5. The give-and-take of information between Israeli and the Palestinian Authority’s security services has declined in recent weeks. This is due partly to the latter’s awareness of its own Tanzim’s support for Hamas’ activities and partly to its informants drying up.
  6. On Thursday, Dec. 13, Tanzim decided to go public with its backing for Hamas, by openly lauding the terrorists killed on Wednesday as “Palestinian heroes” and calling on the Palestinian masses to mark the anniversary of the founding of Hamas on Friday, Dec. 14 with popular demonstrations. These are intended to replicate the “rallies” Hamas mounted on the Gaza border for the past eight months.

 

Tanzim’s proactive backing for Hamas is not just directed against Israel. It is part of a political campaign conducted by Tanzim’s leader Mahmoud al-Aloul, who was elected deputy chairman of the Palestinian Authority and is a member of the Fatah central committee since 2009, and is bidding to succeed Mahmoud Abbas. To support his run for office, he has been preparing a third intifada. Earlier this year, Israel warned Al-Aloul that if he did not drop this plan, the clandestine terrorist cells he was building would be wiped out. However, Israel made no move against him or Tanzim since then.

 

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Il est de plus en plus évident que Tanzim, l’aile extrémiste du Fatah, est complice de l’assaut terroriste lancé par le Hamas en Judée-Samarie, qui a coûté la vie à 5 Israéliens et blessé 12 personnes au cours des dernières semaines.

 

Le révélateur fut la découverte du meurtrier de Barkan, qui a évité la capture pendant cinq semaines, dans le camp de réfugiés Askar de Naplouse, après que les forces de sécurité israéliennes eurent retrouvé un autre terroriste lié au tir d’Ofra du 9 décembre dans le village de Sudra, dans le district de Ramallah.

 

Ramallah est le siège de l’Autorité palestinienne dirigée par le Fatah et des institutions de ce mouvement. Il est de plus en plus évident que Tanzim, la branche armée du Fatah, qui était principalement en sommeil après sa défaite lors de la deuxième Intifada de 2000-2002, étend un soutien clandestin au réseau du Hamas qui terrorise la Judée-Samarie ces dernières semaines.

 

Le Tanzim en tant que tel n’a pas apporté son soutien au Hamas, mais une faction armée qui s’est récemment érigée en une force paramilitaire appelée «Brigades du martyr d’Amoudi». Ses membres fondateurs sont pour la plupart des vétérans de l’intifada.

 

La collusion avec le Hamas se décline en six points:

 

  1. Le réseau du Hamas se concentre sur Ramallah, où il pense être protégé par la proximité de l’Autorité palestinienne et de ses agences de sécurité et de renseignement.
  2. Le nouveau mode opératoire des attaques du Hamas. Aux jonctions Ofra et Asaf Hill, les terroristes ont utilisé des véhicules pour tirer puis fuire rapidement, une méthode identifiée du Tanzim, mise en pratique pour la première fois le 9 janvier.
  3. La capacité des terroristes à éviter la capture pendant des périodes inhabituellement longues dépend de l’aide du Tanzim à fournir des cachettes sûres, avec la complicité active de plus en plus de segments de la population palestinienne, qui jusqu’à présent avaient peu de sympathie pour le Hamas.
  4. Le Fatah-Tanzim a ordonné à la population de venir en aide au Hamas en mettant brusquement des obstacles sur la route pour entraver les mouvements militaires israéliens, en organisant des émeutes, en effaçant des cassettes vidéo enregistrant les attaques et en fournissant de la nourriture.
  5. Les échanges d’informations entre les services de sécurité israéliens et ceux de l’Autorité palestinienne ont diminué au cours des dernières semaines. Ceci est dû en partie à la prise de conscience par l’AP du soutien du Tanzim aux activités du Hamas, et en partie au tarissement de ses informateurs.
  6. Le jeudi 13 décembre Tanzim a décidé de rendre public son soutien au Hamas, en louant ouvertement les terroristes tués mercredi en tant que “héros palestiniens”, et en appelant les masses palestiniennes à marquer vendredi l’anniversaire de la fondation du Hamas le 14 décembre par des manifestations populaires. Celles-ci sont destinées à reproduire les «rassemblements» que le Hamas a organisés à la frontière de Gaza au cours des huit derniers mois.

 

Le soutien proactif du Tanzim au Hamas ne vise pas seulement Israël. Cela fait partie d’une campagne politique menée par le dirigeant du Tanzim, Mahmoud al-Aloul, élu vice-président de l’Autorité palestinienne et membre du comité central du Fatah depuis 2009, qui souhaite succéder à Mahmoud Abbas. Pour soutenir sa course à la présidence, il prépare une troisième Intifada. Plus tôt cette année, Israël avait averti Al-Aloul que, s’il ne renonçait pas à ce plan, les cellules terroristes clandestines qu’il construisait seraient détruites. Cependant, Israël n’a pris aucune mesure contre lui ou le Tanzim depuis lors.