There are six pointers to its collusion with Hamas:

 

Evidence is mounting that the extremist Tanzim wing of the Palestinian Fatah is complicit in the Hamas onslaught of terror in Judea and Samaria, which has claimed 5 Israeli lives and injured 12 in in recent weeks.

 

The clincher was the discovery of the Barkan killer, who had evaded capture for five weeks, in the Askar refugee camp of Nablus – only after Israel’s security forces caught up with another terrorist who was linked to the Dec. 9 Ofra shooting at the Sudra village in the Ramallah district.

 

Ramallah is the seat of the Fatah-ruled Palestinian Authority and the movement’s institutions. It is increasingly evident that Tanzim, Fatah’s armed wing, which was mostly dormant after the second intifada (Palestinian uprising) of 2000-2002 was defeated, is extending clandestine support to the Hamas network terrorizing Judea and Samaria in recent weeks.

 

Tanzim as a body has not pitched in with support for Hamas, only an armed faction, which recently set itself up as a paramilitary force called the “Amoudi Martyr’s Brigades.”  Its founding members are mostly intifada veterans.   

 

There are six pointers to its collusion with Hamas:

 

  1. The Hamas network’s focus on Ramallah, where it feels it can safely operate under the noses of the Palestinian Authority and its security and intelligence agencies.
  2. The new modus operandi of Hamas attacks. At the Ofra and Asaf Hill junctions, the terrorists used vehicles for shooting and a fast getaway, a method identified with Tanzim. It was first put into practice on Jan. 9.
  3. The terrorists’ ability to evade capture for unusually long periods is down to Tanzim aid in providing safe hideouts with the active complicity of more and more segments of the Palestinian population, which hitherto had little sympathy for Hamas.
  4. The Fatah – Tanzim has ordered its following in the population to aid Hamas by raising sudden road obstructions to hamper Israeli military movements, staging riots, erasing video tapes recording attacks and the presence of fugitive terrorists and giving them food.
  5. The give-and-take of information between Israeli and the Palestinian Authority’s security services has declined in recent weeks. This is due partly to the latter’s awareness of its own Tanzim’s support for Hamas’ activities and partly to its informants drying up.
  6. On Thursday, Dec. 13, Tanzim decided to go public with its backing for Hamas, by openly lauding the terrorists killed on Wednesday as “Palestinian heroes” and calling on the Palestinian masses to mark the anniversary of the founding of Hamas on Friday, Dec. 14 with popular demonstrations. These are intended to replicate the “rallies” Hamas mounted on the Gaza border for the past eight months.

 

Tanzim’s proactive backing for Hamas is not just directed against Israel. It is part of a political campaign conducted by Tanzim’s leader Mahmoud al-Aloul, who was elected deputy chairman of the Palestinian Authority and is a member of the Fatah central committee since 2009, and is bidding to succeed Mahmoud Abbas. To support his run for office, he has been preparing a third intifada. Earlier this year, Israel warned Al-Aloul that if he did not drop this plan, the clandestine terrorist cells he was building would be wiped out. However, Israel made no move against him or Tanzim since then.

 

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Il est de plus en plus évident que Tanzim, l’aile extrémiste du Fatah, est complice de l’assaut terroriste lancé par le Hamas en Judée-Samarie, qui a coûté la vie à 5 Israéliens et blessé 12 personnes au cours des dernières semaines.

 

Le révélateur fut la découverte du meurtrier de Barkan, qui a évité la capture pendant cinq semaines, dans le camp de réfugiés Askar de Naplouse, après que les forces de sécurité israéliennes eurent retrouvé un autre terroriste lié au tir d’Ofra du 9 décembre dans le village de Sudra, dans le district de Ramallah.

 

Ramallah est le siège de l’Autorité palestinienne dirigée par le Fatah et des institutions de ce mouvement. Il est de plus en plus évident que Tanzim, la branche armée du Fatah, qui était principalement en sommeil après sa défaite lors de la deuxième Intifada de 2000-2002, étend un soutien clandestin au réseau du Hamas qui terrorise la Judée-Samarie ces dernières semaines.

 

Le Tanzim en tant que tel n’a pas apporté son soutien au Hamas, mais une faction armée qui s’est récemment érigée en une force paramilitaire appelée «Brigades du martyr d’Amoudi». Ses membres fondateurs sont pour la plupart des vétérans de l’intifada.

 

La collusion avec le Hamas se décline en six points:

 

  1. Le réseau du Hamas se concentre sur Ramallah, où il pense être protégé par la proximité de l’Autorité palestinienne et de ses agences de sécurité et de renseignement.
  2. Le nouveau mode opératoire des attaques du Hamas. Aux jonctions Ofra et Asaf Hill, les terroristes ont utilisé des véhicules pour tirer puis fuire rapidement, une méthode identifiée du Tanzim, mise en pratique pour la première fois le 9 janvier.
  3. La capacité des terroristes à éviter la capture pendant des périodes inhabituellement longues dépend de l’aide du Tanzim à fournir des cachettes sûres, avec la complicité active de plus en plus de segments de la population palestinienne, qui jusqu’à présent avaient peu de sympathie pour le Hamas.
  4. Le Fatah-Tanzim a ordonné à la population de venir en aide au Hamas en mettant brusquement des obstacles sur la route pour entraver les mouvements militaires israéliens, en organisant des émeutes, en effaçant des cassettes vidéo enregistrant les attaques et en fournissant de la nourriture.
  5. Les échanges d’informations entre les services de sécurité israéliens et ceux de l’Autorité palestinienne ont diminué au cours des dernières semaines. Ceci est dû en partie à la prise de conscience par l’AP du soutien du Tanzim aux activités du Hamas, et en partie au tarissement de ses informateurs.
  6. Le jeudi 13 décembre Tanzim a décidé de rendre public son soutien au Hamas, en louant ouvertement les terroristes tués mercredi en tant que “héros palestiniens”, et en appelant les masses palestiniennes à marquer vendredi l’anniversaire de la fondation du Hamas le 14 décembre par des manifestations populaires. Celles-ci sont destinées à reproduire les «rassemblements» que le Hamas a organisés à la frontière de Gaza au cours des huit derniers mois.

 

Le soutien proactif du Tanzim au Hamas ne vise pas seulement Israël. Cela fait partie d’une campagne politique menée par le dirigeant du Tanzim, Mahmoud al-Aloul, élu vice-président de l’Autorité palestinienne et membre du comité central du Fatah depuis 2009, qui souhaite succéder à Mahmoud Abbas. Pour soutenir sa course à la présidence, il prépare une troisième Intifada. Plus tôt cette année, Israël avait averti Al-Aloul que, s’il ne renonçait pas à ce plan, les cellules terroristes clandestines qu’il construisait seraient détruites. Cependant, Israël n’a pris aucune mesure contre lui ou le Tanzim depuis lors.