Georges Bensoussan en Israël pour une série de conférences

 

 

 

 

 

Georges Bensoussan en Israël pour une série de conférences

 

Le 25 décembre à Jérusalem, le 02 janvier à Tel Aviv, le 10 janvier à Netanya: Georges Bensoussan tiendra une série de conférences sur les thèmes qui agitent l’actualité.

Historien français, Georges Bensoussan possède plusieurs domaines de prédilection qui en font un intellectuel incontournable.

Spécialiste de l’histoire de la Shoah, rédacteur en chef de la Revue d’Histoire de la Shoah, il est plus encore historien du sionisme (Une Histoire intellectuelle et politique du sionisme, 1860-1940, Fayard, 2002) et du dernier siècle de présence juive en terre arabe, avec notamment la rédaction de deux ouvrages: Juifs en pays arabes : le grand déracinement 1850-1975, (Paris, Tallandier, 2012) et plus récemment Les Juifs du monde arabe. La question interdite, (Odile Jacob, 2017).

En 2002, il participe également à la rédaction de l’ouvrage collectif ”Les territoires perdus de la République” auquel l’actualité depuis ne cesse de donner raison.

Georges Bensoussan sera en Israël pour une série de conférences et nous fera ainsi profiter de ses analyses et études.

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De Jérusalem, Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ

De Jérusalem,
Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ

 

Le prophète Amos l’a prédit, Binyamin Netanyahou l’a également cité à l’ONU : “Ainsi dit l’Eternel (au peuple juif), Je les planterai sur leur terre, et ils ne seront plus arrachés de leur terre que JE leur ai donnée”.

Grâce à l’association “HaShorashim” – avec une excursion organisée par Sara & Yoram et Clément & Léa, nous avons participé à une aide concrète en faveur des agriculteurs du sud, qui ont tant besoin de main d’oeuvre, de soutien moral, mais aussi de protection contre la criminalité et le terrorisme.

 

Nous sommes donc allés à Yevul, un mochav situé à 7 km de Gaza et 1 km de la frontière égyptienne. Touvia l’agriculteur cultivait ses champs auparavant à Netsarim dans la Bande de Gaza (1) ; c’est aujourd’hui à Yevul que Touvia tente à nouveau de faire fructifier la terre d’Israël. 

Les volontaires sont les bienvenus ! 

 

En fin de matinée, notre groupe a participé à préparer la récolte des tomates cerises (invention israélienne) – savons-nous qu’il existe des tomates “choco” et des tomates jaunes ?… 

Priscilla était notre guide pour nous expliquer l’importance d’aider les agriculteurs israéliens faisant fructifier la terre, comme les pionniers juifs venus dès la fin du 19e siècle les défricher, malgré le peu de moyens, la malaria, et les razzias arabes. 

 

“Shomer ha’hadash” – le nouveau gardien

Aujourd’hui, les terres appartiennent à l’Etat, achetées à l’époque aux Ottomans, argent comptant. Elles sont alors confiées aux agriculteurs et éleveurs, aux kibbutzim et mochavim. Or, en Galilée, le long du Jourdain et dans le sud, les difficultés ne manquent pas, dues à la criminalité (vol de bétail, destruction des clôtures, etc) et au terrorisme (cerfs-volants enflammés…) pour décourager les agriculteurs et leur faire abandonner la terre. 

 

Yoel Zilberman, 30 ans, voyant le désespoir de son père, éleveur au Moshav Tsippori, a eu cette volonté farouche de défendre la terre et d’appeler des amis pour l’épauler dans ce projet: “Aujourd’hui, des milliers de volontaires font partie du mouvement et suivent une formation intensive. Ils patrouillent et surveillent la terre à partir de postes d’observation installés de manière stratégique dans le Néguev et en Galilée pour protéger les fermes lorsque les forces de l’ordre locales ne sont pas en mesure de le faire”. (jewishpress.com)

 

Zilberman a écrit : “Nous perdons notre âme lorsque nous nous éloignons de la terre. Notre identité dépend de la connexion que nous partageons avec ce pays”.

 

“Shomer a’hi” – Gardien de mon frère

C’est inscrit au dos du tee-shirt de Priscilla notre guide et des travailleurs agricoles. Cette appellation est chargée de sens : à la question de Dieu : “Où es ton frère…”, Caïn, meurtrier de son frère Abel, avait répondu : “Suis-le gardien de mon frère ?” (Gen 4:9). 

 

A l’inverse de Caïn, voilà un slogan que chaque ami d’Israël doit faire sien : être “le gardien de son frère”, soutenir le pionnier israélien qui fait fructifier la terre, se battant contre ceux qui veulent la lui voler.

Notre guide Priscilla, qui est venue de France en Israël à l’âge de 16 ans, s’est engagée, en plus de sa famille et de son travail, à être disponible pour faire partie de “Shomer ha’hadash”, et être ainsi “Shomer a’hi”. 

 

La bataille pour la terre

Dieu, par la bouche d’Esaïe (62:4), dit de la terre d’Israël, qu’elle est « mon plaisir en elle » ( ‘Heftsiba). De même, « On appellera ta terre Be’oulah/Epouse ». C’est dire l’importance du sol, du territoire, et l’on comprend pourquoi les nations et l’islam font tout pour la voler et/ou délégitimer Israël de tout droit sur elle.

Soyons un frère pour Israël, dans le concret et la réalité !

 

(1) Sachons pour information que cette Bande de Gaza (le Goush Katif) faisait partie du territoire de Juda. Depuis 2005, Israël a été forcé par les nations de donner ce territoire aux Palestiniens de Gaza… et le Hamas est né avec comme seul but, la destruction d’Israël. Le conflit de cette année a vu la destruction de 1 336 hectares de forêts  en 6 mois par des ballons incendiaires de Gaza. 

Un ami amazigh

Un ami amazigh, vivant en Algérie, m’a envoyé la violente vidéo de la jeune scandinave, filmée tandis qu’elle se faisait égorgée.

C’est l’horreur ! Bien que cette jeune fille hurlait et que le sang coulait à flot, ce monstre a continué à lui découper la gorge, comme si c’était un simple animal qu’on égorge.

Cette jeune fille innocente a été égorgée par surprise dans la nuit, dans sa tente. Elle n’a pas dû comprendre ce qui lui arrivait.
D’autant que cet islamiste était placé derrière elle pendant qu’il lui découpait le cou.

Cette vidéo m’a rendu malade !!! Horrible !!!

Il faut être un vrai psychopathe pour commettre cette monstruosité et, en plus, pour n’avoir aucune honte à la diffuser sur Facebook.

Cet ami Amazigh a lui-même connu cette horreur en 1996, en trouvant, avec son frère, trois têtes décapitées et en vivant, durant un an, avec tous les jours, les fusillades, les bombes et les morts. 

Il rajoute en commentaire à cette vidéo : 

“Il faut que les français se réveillent…
Moi j’ai vécu celà, en 1996…”.

Une franco-marocaine pointe la responsabilité du royaume dans le développement du salafisme au Maroc :

“Preuves que le royaume chérifien a favorisé l’islamisme”

“Politique depuis 1980 : arabisation et islamisation. Corps professoral égyptien frériste. Matières islamiques rendues obligatoires, la sociologie et la philosophie interdites”.

Ne pas oublier l’attentat du 28 avril 2011 à Marrakech, qui a fait 17 morts, ce qui prouve que le mal n’est pas éradiqué