Zemmour-Bensoussan-Finkielkraut : racisme contre les juifs patriotes

Zemmour-Bensoussan-Finkielkraut :

racisme contre les juifs patriotes

Publié le 26 septembre 2018 – par Etienne Dolet

Zemmour est juif : « Français juif », dit-il dans Destin français. Ce qui déplaît à d’innombrables haineux invités dans tous les media à distiller leur fiel, c’est l’alliance des deux mots : Français et juif, d’abord le nom, ensuite l’adjectif. Eux, ils sont musulmans ou islamistes ou gauchistes et fiers de l’être. La dernière manifestation de haine à l’encontre de Zemmour vient d’une demoiselle, formée sans doute par l’École de la République : Zemmour, selon elle, serait une insulte à la France, comme l’étaient déjà dans les années 1940 Proust, Némirowsky, Bruller, Blum, Mandel. Elle exige, au nom de son Allah, que ce Français juif ne soit plus invité dans quelque media que ce soit : heraus, ouste, bara, out. Plus jamais ce Français juif à la télévision ou à la radio, ce à quoi ont répondu quelques humoristes que c’était déjà le cas sur les chaînes du prétendu service public ! C’est du racisme primaire exprimé sans gêne, ni crainte, avec bonne conscience et la certitude d’une impunité totale. Plus de deux cent mille abrutis (200 000) auraient signé (selon L’Immonde) la pétition que la demoiselle Sy a lancée sur les réseaux sociaux et tous les faiseurs d’opinion et autres autorisés de la parole des media mainstream ont approuvé ses exigences racistes. La Sauce raciste ne moufte pas mot, non plus que la LDH et toutes les assoces prétendument antiracistes qui vivent en parasites de luxe aux dépens des Français.

Si seul Zemmour était la cible de ces racistes, on pourrait attribuer leur fureur à quelque mauvaise humeur passagère due à la fin de l’été ou aux chaleurs torrides de septembre. Non, Zemmour est le énième de la liste des proscrits et la liste n’est pas close. Depuis vingt ans ou plus, il n’est pas d’écrivain ou d’auteur ou d’intellectuel juif qui ne soit injurié, non à cause de ce qu’il écrit ou dit, mais parce qu’il est et que son seul crime est de s’exprimer. Au XXIe siècle, Bensoussan et les co-auteurs des Territoires perdus ont été les premiers à subir la fureur raciste des musulmans alliés aux islamo-gauchistes ; puis, ce fut le tour de l’historien Sylvain Gouguenheim, dont la seule tache était son nom à consonance juive, de Finkielkraut, d’Élisabeth Lévy, tous menacés, haïs, injuriés. À tous ont été intentés des procès, soit devant la « Justice », soit devant le tribunal de l’Opinion. Non seulement les juifs vivant dans les innombrables quartiers islamisés de France sont contraints de se réfugier ailleurs, soit en Israël, soit dans des quartiers sans musulmans, mais encore il est fait interdiction à ceux d’entre eux qui ont une opinion de l’exprimer.

La France peut-elle tomber plus bas ? Bien sûr. Déjà, entre 1940 et 1944, les écrivains portant un nom juif ont été effacés des catalogues d’édition et plus aucun auteur juif n’a été publié en France, que ce soit dans la zone occupée ou dans la zone dite libre. L’Histoire se répète, et tous les puissants approuvent ce ressassement, comme soixante-quinze ans plus tôt ils approuvaient l’ostracisme qui frappait les Français juifs et même leur élimination physique. Ce qui est aujourd’hui en marche, ce n’est pas la République, mais la lente disparition de France d’un grand nombre d’individus à qui il est reproché d’être d’une race maudite – maudite d’Allah bien sûr.

Un conflit armé entre Israël et le Hamas est-il parable ?

 

Nathalie Sosna-Ofir

1 h

Un conflit armé entre Israël et le Hamas est-il parable ? Pour une partie de la presse israélienne, une opération de Tsahal à Gaza n’est plus qu’une question de temps et devrait être le seul moyen de stopper la Marche Palestinienne des Exilés qui ne s’essouffle pas. Encore 20.000 palestiniennes rassemblées près de la clôture de sécurité en fin de semaine, nombreux ont tenté de la franchir et plus de 100 engins explosifs ont été lancés sur les soldats de Tsahal. Le Hamas a considérablement renforcé ses forces ces dernières semaines alors que les négociations de réconciliation avec l’Autorité palestinienne ont échouées, que la crise humanitaire à Gaza s’aggrave et que les pourparlers avec Israël visant à établir un cessez-le-feu de longue durée sont au point mort. « Nous sommes prêts à tout scénario à Gaza » est le gros titre des journaux ce matin. C’est ce déclaré vendredi le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu depuis New-York prévenant qu’il ne s’agissait pas de vaines paroles. Depuis plusieurs mois, le Hamas tente d’entraîner Israël vers une conciliation à long terme à coup de pression terroriste déguisée en révolte civile sur la clôture et de ballons incendiaires. Le commandement sud tente de contenir les événements et pendant ce temps les gazaouis manipulés par le Hamas continuent de souffrir. Malgré tout Israël essaie toujours d’éviter l’inévitable. Mais si incursion à Gaza il y a il faudra, avertissent la majorité des éditorialistes, retirer les leçons de l’opération Plomb Durci et cette fois rester jusqu’à la chute du régime du Hamas. Et ce afin d’éviter un nouveau tour de violences deux ou trois ans plus tard. On en parle dans la Revue de la Presse Israélienne sur Judaiques FM 94.8 à réécouter en direct à 10h15….Chavoua Tov et Hag Saméah !

Gaza : le Hamas se prépare à la guerre alors que la situation s’aggrave

Gaza : le Hamas se prépare à la guerre alors que la situation s’aggrave

 

Sep 28, 2018

 

Le Hamas se prépare à la guerre alors que la situation à Gaza s’aggrave

L’échec de la réconciliation avec le Fatah d’Abbas et la crise humanitaire alimentée par des réductions de financement à l’UNRWA sont supposés pousser le groupe terroriste au bord du gouffre 

Nota Bene : bien que ces informations soient recueillies par un journal réputé pour son orientation à gauche, voire à l’extrême-gauche, elles émanent cependant de l’armée sur le terrain et dégagent plusieurs scénarios possibles : la guerre, la rébellion ou l’apathie à l’égard du Hamas, de la part de la population ; elles soulignent le bras-de-fer continu entre Fatah et Hamas, jusqu’à ce que l’un des deux cèdent. Enfin, l’arrêt des donations américaines à l’UNRWA, s’il est justifié quant aux effets pervers de cet organisme, en termes d’éducation à la haine, ne font pas pression sur les pays arabes pour qu’ils dissolvent le problème des “réfugiés” de génération en génération, mais bien plus, dans l’immédiat sur une population-otage des terroristes à Gaza. Avec des conséquences sécuritaires directes sur l’environnement israélien de Gaza.

Archive : Des membres masqués des Brigades Izz ad-Din al-Qassam, la branche militaire du groupe terroriste du Hamas, conduisent des véhicules alors qu’ils commémorent le 30e anniversaire de leur groupe, à Gaza, le 13 décembre 2017. (AP Photo / Adel Hana)

Le Hamas se prépare à la guerre, ont déclaré les forces de sécurité israéliennes, renforçant considérablement ses unités ces dernières semaines, alors que la crise humanitaire à Gaza s’aggrave et que les négociations de réconciliation avec l’Autorité palestinienne sont en panne.

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