Lettre de Joël Mergui à la présidente de France2

 

 

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Lettre de Joël Mergui à la présidente de France2

par admin

Madame la Présidente,

J’ai récemment été alerté par de nombreuses personnes inquiètes de la diffusion sur votre antenne d’un reportage intitulé « Les estropiés de Gaza » dans le cadre de l’émission « Envoyé spécial. »
La bande-annonce laisse effectivement apparaître un reportage très engagé à la limite de la partialité, sans autre grille de lecture possible pour le téléspectateur que la condamnation pure et simple d’Israël.

Je m’étonne que France 2 – qui diffuse par ailleurs la source de Vie – prenne le risque d’une programmation qui ne manquera pas d’avoir des répercussions sur la communauté juive de France. Vous n’êtes évidemment pas sans connaître le lien étroit existant entre la résurgence de l’antisémitisme en France et la détestation d’Israël, alimentée par de tels programmes.
Notre communauté porte à ce jour le traumatisme de multiples entreprises de désinformation qui diffusent des préjugés antisionistes à l’origine d’innombrables actes de violence antisémites dans notre pays.

Si le droit d’expression doit demeurer libre et un droit fondamental des journalistes, ceux-ci sont aussi tenus en vertu de leur charte déontologique de respecter la vérité avec l’impératif de ne publier que des informations vérifiées ou accompagnées de réserves.

J’ose donc espérer qu’il sera aussi fait mention dans ce reportage des estropiés d’Israël afin de conserver une certaine objectivité à défaut d’une neutralité que le titre du reportage ne laisse pas transparaître.

En effet, si les estropiés d’Israël ne doivent pas leurs blessures au fait d’avoir été volontairement exposés aux dangers pour servir la propagande, ils n’en sont pas moins les victimes innocentes et réelles de vrais terroristes islamistes, qui servent la même idéologie meurtrière que celle que connaissons hélas en France.

Je laisse donc à votre juste appréciation, la responsabilité de mesurer la pertinence d’une telle diffusion et le soin d’évaluer le respect de votre propre charte déontologique, je me réserve pour ma part le droit d’user de ma propre liberté d’expression pour dénoncer tout ce qui me paraîtrait moralement inacceptable….

Joël Mergui

 

   

 

 

 

 

mensonges A2

Paul Moreira, fondateur et directeur de l’agence Premières Lignes, la société qui a produit le documentaire Biaisé pour France 2 – “Gaza, une jeunesse estropiée”- les partenaires du reportage sont:
@ZdeBussierre. @EliseLucet. @Nico_daniel2 @ophelieradureau @Danae_Pol @yphilippin de @Mediapart. il a a son actif au moins 6 reportages truffés de mensonges anti Israeliens

mai 2018, Paul moreira avec ses copains activistes anti Israeliens de L’ONG Reporters Sans Frontières a saisit la CPI pour « crimes de guerre »
Reporters sans frontières (RSF) a saisi la Cour pénale internationale concernant des « crimes de guerre commis par l’armée israélienne contre des journalistes palestiniens », a annoncé l’ONG mardi.

RSF évoque dans un communiqué des « tirs directs de snipers de l’armée israélienne à l’encontre d’une vingtaine de journalistes palestiniens, sur le territoire de Gaza », dans le contexte d’émeutes ayant lieu à Gaza depuis le 30 mars

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gaza,,,,,,,,,,,,tunnel

Le centre de Jérusalem pour les affaires publiques (JCPA) a publié un article signé par Yoni Ben Menahem qui fait froid dans le dos. Il dévoile les plans diaboliques du Hamas dans la bande de Gaza.

Un scénario catastrophe pour Israël ? Yoni Ben Menahem est généralement bien renseigné. C’est un journaliste israélien, nommé directeur général et rédacteur en chef de la radio israélienne Kol Israël en 2003. Il a servi dans l’unité du renseignement des Forces de Défense d’Israël.

Il révèle au grand jour les plans cachés du Hamas fomentés par deux hommes. Yehya Sinwar, l’homme fort de Gaza et l’architerroriste Mohammed Def, responsable de l’aile militaire de l’organisation. Ils auraient planifiés une attaque surprise contre une localité israélienne située dans la périphérie de la bande de Gaza. Il s’agirait d’emprunter un tunnel qui n’a pas encore été découvert par Tsahal.

Les forces d’élite de la branche militaire investiraient une ou plusieurs localités, enlèveraient soldats et civils et les rapatrieraient par le même chemin à Gaza. Au même moment, d’autres terroristes forceraient en nombre la clôture de séparation afin d’occuper les soldats chargés de surveiller cette frontière. En langage clair, créer une diversion.

L’objectif est audacieux. Le Hamas veut extorquer à Israël, la levée du blocus de l’enclave palestinienne et pourquoi pas aussi, la libération de prisonniers palestiniens. Avec des dizaines d’otages, Israël n’aura d’autres choix que d’obtempérer.

Un journaliste au ordre du Hamas vend la mèche

Le commentateur politique palestinien Faiz Abu Shamaleh, proche des dirigeants du Hamas, a ouvertement vanté le plan opérationnel du Hamas.

Dans une interview accordée à une chaîne de télévision de la bande de Gaza le 16 septembre dernier, il a averti que si le blocus n’était pas levé, le Hamas dirigerait alors ses roquettes vers Tel Aviv et vers l’aéroport Ben Gourion.

Dans la foulée, il a déclaré que le point culminant de cette confrontation militaire serait l’occupation des « colonies » dans les environs de la bande de Gaza et la prise de « colons » en captivité. « Ce sera une surprise pour les Israéliens. L’armée israélienne devra admettre que le Hamas a changé la donne. « Les terres des colonies seront rendues aux Palestiniens », se vantait Abu Shamla.

Des menaces prises au sérieux à Jérusalem

La défense israélienne a bien évidemment été informée de ce plan. Non seulement les menaces sont prises au sérieux à Jérusalem, mais des mesures ont aussitôt été décidées et appliquées sur le terrain. C’est sans doute la raison pour laquelle le chef d’Etat-major, Gadi Eisenkot, a ordonné à la fin de la semaine dernière de renforcer la zone adjacente à la bande de Gaza.

Le cabinet de sécurité discute également des intentions d’attaque du Hamas. Au point d’évoquer la possibilité d’évacuer quelque 30 000 civils des communautés environnantes de la bande de Gaza si nécessaire, pour les tenir à l’écart de la ligne de tir.