Lettre d’un Pasteur au Président Macron

 

 

 

Objet: TR : Lettre d’un Pasteur au Président Macron

Date: 21 mai 2018 à 22:42:59 UTC+2

 

 

 

Shalom Israël

 

 

21 mai 2018

 

Lettre ouverte au président de la République concernant Gaza
De Jérusalem,
Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ

 

Monsieur le Président,

 

Je me permets de vous écrire concernant la Marche palestinienne à Gaza. Vous avez accusé Israël « d’actes odieux » sans hésitation et sans condamner l’organisation terroriste le Hamas, qui chacun sait, est à l’origine de cette manifestation « pacifique ».

 

L’ONU avec la France a observé une minute de silence pour les victimes palestiniennes. N’y a-t-il pas encore une fois deux poids deux mesures lorsqu’il s’agit de victimes palestiniennes en Israël, alors que l’on compte des centaines de milliers de victimes syriennes et palestiniennes en Syrie et parmi les chrétiens au Moyen-Orient… tout cela dans l’indifférence criante des nations.

 

Vous parlez des victimes civiles palestiniennes, sans mentionner que sur les 62 morts, 50 d’entre eux faisaient partie de la branche armée du Hamas. Le Hamas lui-même le reconnait, alors pourquoi pas les nations européennes ?… Y a-t-il un message à l’encontre d’Israël, à la suite de l’inauguration de l’ambassade des Etats-Unis – tout pays n’a-t-il pas le droit de choisir sa capitale?

 

La France sait très bien que Tsahal a une éthique, et notamment concernant cette Manifestation à Gaza, où chaque balle tirée par les soldats fait l’objet d’une enquête. Israël a prouvé maintes fois qu’elle est soucieuse d’une vraie justice dans l’armée, particulièrement dans les conflits avec les Palestiniens.

 

D’autre part, peut-on dire que cette manifestation était pacifique et non armée, quand chacun sait que de nombreuses armes sont utilisées contre les soldats israéliens, mais également sur les civils lors des tirs à la mitrailleuse lourde sur Sdérot. Les manifestants ont lancé des pierres et des cocktails Molotov sur les soldats israéliens de l’autre côté de la barrière. Ils ont lancé des dizaines de cerfs-volants dits « de terreur » – des cerfs-volants chargés de bombes incendiaires et flanqués de croix gammées – sur le territoire israélien, provoquant des feux de broussailles dans les champs et détruisant les terres agricoles de la région. Dans les franchissements de la barrière heureusement avortés, des armes de poing et des grenades ont été laissées sur place. Grâce à Dieu et à la vigilance des soldats de Tsahal, aucun soldat ou civil n’a été tué ou kidnappé – faut-il reprocher à Israël la défense de sa population ?

 

Considérons des faits contredisant le déchaînement des condamnations contre Israël :

  • Mahmoud Al-Zahhar, cofondateur du Hamas, au sujet des manifestations à Gaza a lui-même déclaré : « Qualifier de ‘résistance pacifique’ ces manifestations est une tromperie claire, elle est soutenue par nos armes » (Memri – 17 Mai 2018)
  • « … la très grande majorité des Palestiniens tués cette semaine lors de manifestations et heurts avec l’armée israélienne dans la bande de Gaza appartenait au mouvement islamiste, qui dirige l’enclave… Salah al-Bardaouil, haut responsable du Hamas, a déclaré à une télévision palestinienne que 50 des 62 Palestiniens tués lundi mais aussi mardi appartenaient au mouvement islamiste. » (Le Huffpost – 17/05)
  • « Le Hamas a tenté de convaincre et de faire pression sur les Palestiniens pour qu’ils viennent aux manifestations frontalières, a essayé de les soudoyer en leur offrant « 100 dollars par famille qui se déplace », et a également menacé les gens en les accusant d’être des « collaborateurs » s’ils n’assistaient pas aux manifestations (timesofisrael.com).

 

Que ferait la France si des dizaines de milliers de personnes hostiles se précipitaient à ses frontières, plaçant les enfants en première ligne pour qu’ils soient asphyxiés par les gaz afin d’en faire des victimes, forçant les barrières pour que des hommes armés cachés dans la foule puissent massacrer des civils ?… C’est le scénario mis au point par le Hamas, comptant sur la naïveté du monde occidental et des médias en recherche de sensationnel.

 

Monsieur le Président, pour la crédibilité des instances internationales comme l’ONU, et de la France elle-même, et en considérant ces faits qui prouvent que cette Marche n’a rien de pacifique et que le Hamas poursuit un but terroriste afin de perpétrer des massacres dans les Kibboutz environnants Gaza, ne serait-il pas souhaitable que l’ONU et la France fassent amende honorable ?

 

En tant que pasteur français vivant à Jérusalem, et au nom de tous ceux et celles qui vivent en sécurité en Israël ayant été choqués par le déchaînement des condamnations d’Israël, nous vous demandons, Monsieur le Président, de reconsidérer votre position et ainsi celle de la France, en reconnaissant publiquement combien l’appréciation des événements à Gaza a été mauvaise, que les médias ont été trompés, et que la condamnation d’Israël est injustifiée.

 

Nous savons que la France s’oppose fermement au terrorisme et à l’antisémitisme, et nous craignons malheureusement que cette condamnation injuste d’Israël, renforçant le Hamas et ses acolytes, soit une porte ouverte pour d’autres attentats en France ou ailleurs. Cela n’apporte également aucune aide à la population de Gaza, otage de cette organisation terroriste professant une idéologie de mort.

 

Nous connaissons les bonnes relations entre la France et Israël, nous prions que la France et les nations en général puissent comprendre l’importance de cette nation si spéciale qu’est Israël et dont Jérusalem est la capitale. Israël est une source d’inspiration pour beaucoup de nations, et une bénédiction pour le monde grâce à ses nombreuses innovations dans tous les domaines – médical, agronomique, scientifique, sécuritaire, informatique, etc.

 

Souhaitant que notre pays la France soit béni et prospère, je citerais la Bible pour conclure : « Celui qui bénit Israël est béni… et toutes les familles de la terre seront bénies » – Genèse 12:3. 

 

Vous remerciant pour l’intérêt que vous porterez à notre lettre, je vous prie d’agréer, monsieur le Président de la République, l’expression de nos sentiments respectueux,

 

Pasteur Gérald & Sophie Fruhinsholz,

Jérusalem – Israël

 

 

  

 

 

 

 

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Les États-Unis ont défini un cadre pour un plan de paix

Les États-Unis ont défini un cadre pour un plan de paix. Il comprend:

1. Un Etat palestinien avec une souveraineté limitée sur environ la moitié de la Cisjordanie et toute la bande de Gaza.
2. Une responsabilité israélienne pour la sécurité de la plus grande partie de la Cisjordanie et des postes frontaliers.
3. La vallée du Jourdain sous souveraineté israélienne et contrôle militaire.
4. Des quartiers arabes de Jérusalem-Est passeront à l’état palestinien, à l’exclusion de la vieille ville.
5. Abu Dis, à l’est de Jérusalem, en tant que capitale de la Palestine.
6. La Palestine et la Jordanie partageront la juridiction religieuse sur les mosquées de la ville.
7. Gaza sera intégrée dans le nouvel Etat palestinien si le Hamas accepte de désarmer.
8. Un mécanisme de compensation international pour les descendants des Arabes de Palestine.
9. La reconnaissance d’Israël comme la patrie du peuple juif, et la Palestine avec une souveraineté limitée en tant que patrie palestinienne.

Cela a été discuté avec l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, l’Egypte et les Palestiniens en dehors de la nomenklatura de Ramallah. Cinq ont été trouvés, y compris Muhammed Dahlan.

Cela sera rendu public au cours de la deuxième quinzaine de juin.

 

 

Bébé palestinien « gazé »: l’AFP valide la thèse du Hamas et passe sous silence les démentis

Bébé palestinien « gazé »: l’AFP valide la thèse du Hamas et passe sous silence les démentis

L’Agence France-Presse a diffusé complaisamment l’histoire d’un bébé palestinien asphyxié par des gaz lacrymogènes tirés par Tsahal. Pas une ligne en revanche sur les informations mettant en cause la véracité de l’événement.

 

L’Agence France-Presse (AFP) a-t-elle été le principal relais de ce qui semble bien constituer le dernier « fake » anti-israélien forgé par la propagande du Hamas ?

C’est la question qu’a décidé de soulever InfoEquitable après avoir examiné la totalité des dépêches consacrées à cette affaire :

Le 15 mai 2018, à 6 h 29 du matin, l’AFP diffuse sur son fil le « bulletin » suivant :

 

 

Le choix de d’annoncer l’information par un « bulletin » traduit une volonté de souligner l’importance de l’événement en lui conférant de surcroit un caractère de dramatisation.

La mention « (ministère) » indique la source de l’information, en l’occurrence le ministère palestinien de la Santé, à Gaza, dépendant du Hamas.

Vingt minutes plus tard, l’information est développée dans une nouvelle dépêche :

 

 

Tout au long de la journée, l’AFP va développer et reprendre l’information à 16 reprises sur ses dépêches et synthèses.

 

A la mi-journée, l’information est donnée pour certaine

Dans les premières heures de la journée, l’AFP prend la précaution de citer la source de l’information – le ministère de la Santé.

Cette mention apparaît de diverses façons dans les 7 dépêches de la matinée.

Mais dans l’après-midi, la source n’est plus indiquée. Dans le langage de l’AFP, cela signifie que l’information est donnée pour certaine, qu’elle a donc été vérifiée.

« Une fillette de huit mois a succombé aux inhalations de gaz lacrymogènes », indique ainsi l’agence de manière laconique dans sa synthèse de 19 h 18.

 

Le point d’orgue : un reportage de pure propagande, diffusé sur le fil de l’agence. 

A 17 h 03, l’AFP envoie cette fois depuis Gaza une longue dépêche titrée ainsi :

 

  

Ce reportage est livré à tous les abonnés de l’agence accompagné d’une photo et d’une vidéo.

Il est immédiatement repris sur les sites internet des grands titres de la presse française.

 

 

 

 

Au total, près d’une vingtaine de titres de la presse nationale (Europe 1, Cnews…), régionale (Sud-OuestOuest-France…) et francophone (Le Soir, Tribune de Genève…) diffusent cet article. Cela représente plusieurs millions de lecteurs.

La photo de la mère éplorée de l’enfant, diffusée par l’AFP, semble indiquer une réelle intention de faire de ce bébé palestinien l’icône emblématique de cette nouvelle séquence de violences.

 

 

Le ton de la dépêche est accablant pour les Israéliens. Extraits :

 

Dans une dernière étreinte, Mariam al-Ghandour serre contre elle le tout petit corps de sa fille Leïla, en larmes. « Les Israéliens l’ont tuée », sanglote-t-elle.

 Selon le ministère de la Santé gazaoui, le bébé, âgé de seulement huit mois, est décédé après avoir inhalé du gaz lacrymogène pendant les affrontements entre manifestants palestiniens et soldats israéliens lundi près de la frontière entre la bande de Gaza et l’Etat hébreu.

 

Suit un invraisemblable récit fait de quiproquos et de rendez-vous familiaux manqués tendant à expliquer comment une mère palestinienne a pu se retrouver au milieu de l’émeute, a proximité des positions de Tsahal.

A aucun moment l’AFP ne met en doute ou n’émet la moindre réserve sur la crédibilité des témoignages des membres de la famille qu’elle à recueillis.

A aucun moment, l’AFP ne prend contact avec le porte-parole de Tsahal pour connaître sa version des faits.

 

Pourtant d’autres informations accréditent la thèse d’une supercherie, mais l’AFP les passe sous silence 

Dès le 15 mai, à la mi-journée, l’un des porte-paroles de Tsahal, Avichay Adraee, publie sur son compte tweeter ce message en arabe où il conteste la version des Palestiniens.

 

 

« Il y a un doute très sérieux sur la crédibilité des déclaration du Hamas affirmant que l’enfant est mort par inhalation des gaz lacrymogènes. Nous disposons de plusieurs témoignages qui remettent en question l’authenticité de cette affirmation », écrit le porte-parole de l’armée israélienne.

L’AFP ne réagit pas. Ne contacte pas le porte-parole. En tous cas, ne rapporte à aucun moment ses accusations. L’agence française ne cherche manifestement pas à retrouver les témoins signalés par l’officier de Tsahal.  

 

i24NEWS évoque à son tour l’hypothèse d’une supercherie

Le site de la télévision israélienne i24NEWS se fait l’écho de ces témoignages.

 

 

D’après les informations obtenues par le journaliste Matthias Inbar, « le bébé souffrait de problèmes cardiaques depuis sa naissance. Sa famille serait convenue d’un accord avec l’organisation terroriste Hamas pour annoncer sa mort à la presse, en prétendant qu’il aurait été tué à cause des gaz lacrymogènes lancés par Israël, en échange d’une compensation financière significative ».

 

MATTHIAS INBAR, GRAND REPORTER À I24NEWS

 

Le bureau de Jérusalem de l’AFP n’a pas jugé utile de faire état des révélations du journaliste Matthias Inbar.

Joint par InfoEquitable, Matthias Inbar nous apporte ces précisions :

« J’ai obtenu et recoupé ces informations de plusieurs sources. D’une part des sources sécuritaires israéliennes, mais aussi des sources palestiniennes à Gaza. A aucun moment, des confrères du bureau de l’AFP à Jérusalem ne m’ont contacté pour essayer d’en savoir plus. Pourtant la pratique est courante entre confrères. Je me serais fait un plaisir de les aider à confirmer ces informations. »

 

Haaretz mène l’enquête et confirme les doutes

Citant lui aussi des sources palestiniennes, Haaretz confirme les doutes très sérieux sur les causes de la mort de l’enfant.  

Ce même mardi 15 mai, à 17 h 06, il publie sur son site cet article qui remet largement en cause la thèse de l’asphyxie aux gaz lacrymogènes.

 

 

« Le ministère de la Santé à Gaza modifie sa position : Il n’est pas établi que le bébé soit mort asphyxié par les gaz »

Le journal israélien cite une « source officielle au ministère de la Santé à Gaza » avec laquelle il a pu s’entretenir et qui a « requis l’anonymat ».

Selon cette source, les causes de la mort de la petite Leïla « ne sont pas claires ». Il est loin d’être établi que l’enfant a succombé à une asphyxie consécutive à l’inhalation de gaz lacrymogène, écrit Haaretz.

 

 

Haaretz est un journal sérieux, aux yeux en tout cas de l’AFP.

Organe de référence de la gauche israélienne, il ne ménage pas ses critiques à l’adresse du gouvernement et n’hésite pas à prendre la défense des Palestiniens.

Pourtant, l’AFP ne consacre aucune dépêche à ce rebondissement. L’Agence France-Presse n’informe d’aucune façon ses abonnés de ces éléments qui font planer un doute sérieux sur les causes réelles de la mort de l’enfant palestinien.

 

Le Times of Israel confirme l’enquête de Haaretz et cite sa source 

Le lendemain, le mercredi 16 mai, le Times of Israel, citant le Dr Ashraf al Qudra, directeur des relations publiques au ministère de la Santé à Gazaindique que ce dernier à de nouveau admis au téléphone que les causes de la mort de Leïla Ghandour « ne sont pas définitivement établies » et qu’il est « dans l’attente des résultats de l’autopsie »

 

 

 

L’agence américaine Associated Press, homologue de l’AFP, relaie ces doutes : « Des responsables de la santé à Gaza jettent un doute sur les affirmations initiales selon lesquelles un bébé de 9 mois était mort de gaz lacrymogènes israéliens tirés pendant des manifestations de masse à la frontière de Gaza avec Israël. Un médecin a dit mardi que le bébé, Layla Ghandour, avait une condition médicale pré-existante et qu’il ne pensait pas que sa mort avait été causée par des gaz lacrymogènes. »

Du côté de l’Agence France-Presse, c’est une fois de plus le silence radio. Depuis qu’elle a accrédité la thèse de la mort de l’enfant sous les gaz israéliens, elle considère que le dossier est clos. 

 

Conclusions

Pour quelle raisons le directeur des relations publiques du ministère de la Santé à Gaza fait-il marche arrière et paraît en tout cas ne plus être en mesure de cautionner ce qui semble bien être la nième supercherie médiatique des Palestiniens ? Sans doute les récentes pressions de l’Egypte sur le Hamas à Gaza ont-elles incité certains responsables à choisir la voie de la raison.

Mais l’essentiel n’est pas là.

Dans cette affaire, l’AFP semble avoir fait preuve – à nouveau – d’une étrange cécité.

Elle a privilégié la thèse du Hamaspassant systématiquement sous silence les informations nombreuses et concordantes qui la démentaient.

Elle a été, pour la circonstance, le principal vecteur de cette opération de falsification. A noter que ses deux grandes consœurs, l’agence américaine Associated Press et l’anglaise Reuters, ont été beaucoup plus prudentes dans le traitement de cette affaire. Associated Press a fait état des doutes sur sa véracité dès que ceux-ci sont apparus.

Une fois de plus, l’AFP a complaisamment relayé une propagande mensongère qui depuis des années vise à présenter les soldats israéliens comme des « tueurs d’enfants »et qui a joué un rôle non négligeable dans la montée de l’antisémitisme ici en France. 

InfoEquitable a déjà consacré un important dossier sur la complaisance de l’AFP face à ces campagnes du Hamas.

En occultant des informations pourtant largement disponibles dans la presse israélienne, l’AFP a-t-elle une fois de plus trahi ses engagements d’objectivité et de rigueur qui figurent pourtant dans sa charte ?

Nous publierons la réponse de l’Agence France-Presse, si elle daigne répondre à nos sollicitations.

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