En ce qui concerne le futur ministère de l’islam qui sera financé par la taxe halal et qui obligera à modifier la loi de 1905.

 

 

En ce qui concerne le futur ministère de l’islam qui sera financé par la taxe halal et qui obligera à modifier la loi de 1905.

Il ne faut pas toucher à la loi de 1905 car il ne s’agit pas de gérer une religion mais une civilisation portée par des migrations de peuplement en provenance de pays musulmans.

C’est une réflexion plus grande sur notre société et comment elle inclue une civilisation qui est portée par des populations qui migrent et ne renonceront jamais pour une grande partie à leurs normes socioculturelles et qui arrivent en France et sont accueilles par des structures islamistes qui veillent à ce qu’il y ait le moins de pertes afin de consolider les « oummas » de l’étranger comme le rappelle les objectifs de l’ISESCO avec laquelle l’Union Européenne travaille.

Nous avons renoncé à l’assimilation à partir du regroupement familial pour ne pas être accusé de racisme et nous avons laissé se développer une contre société où l’islam est le point d’ancrage central et détruit toute forme d’altérité dans les zones urbaines où il est dominateur culturellement.

Le monde arabo musulman n’appréhende pas l’altérité, il la réduit à peau de chagrin chaque fois qu’il y est confronté.
C’est ce qui se passe dans les fameux territoires perdus de la République.

Georges Bensoussan estime que ce fut une erreur de qualifier ainsi ces zones, et qu’il aurait dû parler de territoires perdus de la Nation car c’est le délitement de la Nation qui profite à ce repli identitaire islamique.

Nous n’avons rien à proposer aux enfants de l’immigration musulmane, nous sommes même dans le dénigrement de ce que nous sommes et de notre histoire, il n’y a pas de culture française paraît il.

Par conséquent un enfant de l’immigration ne peut que se tourner vers les valeurs du pays d’origine qui sont liberticides.

Dans les familles musulmanes traditionalistes qui sont la majorité, le rapport a l’autre est acritique et basé sur le rapport de force et l’humiliation de celui qui brave cet ordre.

Cela donne des enfants inscrits dans un rapport de force très viril et qui font souvent la loi dans les cours d’école, la rue…

Notre éducation nationale a peu de prise sur cette particularité et se dimensionne dans un pédagogisme de l’excuse misérabiliste par antiracisme dévoyé.
Et cela devient injouable quand vous avez 23 élèves musulmans sur 26 dans une classe.

La pression sociale et la peur des profs jouent.

La seule chose qui marche c’est l’imprégnation culturelle au contact de la majorité culturelle historique de ce pays.
Mais cela on le refuse car ça doit amener à penser l’immigration, peuplement urbain, quotas et aussi et surtout, une véritable reconquête de ce que nous sommes.

Si nous ne nous aimons pas et que nous en sommes fiers par satisfaction de détruire ce que l’on considère comme une culture, une histoire et une nation bonnes pour les égouts de l’histoire, ne comptez pas sur les musulmans qui arrivent en France pour aimer aussi ce pays, ils feront ce qu’ils ont toujours fait, reconduire dans la cellule familiale les normes socioculturelles du pays d’origine.