Jeudi dernier dans l’émission de Sonia Mabrouk

 

Barbara Lefebvre

 

Jeudi dernier dans l’émission de Sonia Mabrouk sur cnews j’ai tenu à indiquer qu’un courant des Gilets Jaunes s’était laissé infiltrer par les parasites antisémites des mouvements Soral-Dieudonné qui ne peuvent vivre qu’en infiltrant le néocortex de quelques uns dans un mouvement qui n’a rien à voir avec les objectifs du trust Soral-Dieudonné. 
Samedi, quelques GJ et d’autres militants soraliens ayant simplement revêtu un GJ par opportunisme ont encore fait des quenelles dans les manifestations, ont chanté leur chant débile pour faire croire qu’ils avaient convaincu tous les GJ … Sur les ronds-points ces gugusses-là ne font pas long feu et sont dégagés parfois manu militari par les GJ “authentiques” car les objectifs sociaux et politiques des GJ n’ont pas grand chose à voir avec l’obsession antijuive de Soral et Dieudonné. 
Nous allons bientôt entendre la petite musique de Castaner (et les intellos bobos de St Germain) nous servir la chanson “les GJ sont antisémites, regardez ils font des quenelles”. Effet immédiat de surcroît de popularité pour Soral & Dieudonné que l’on ne cesse d’alimenter depuis qqs années en les dénonçant sans les combattre. Ils sont bien utiles au pouvoir ces deux parasites antisémites, on les sort de la boîte aux horreurs quand on a besoin de décrédibiliser un adversaire.
Lire la suite

« La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, c’est le Droit à la Vie »

 

« La Déclaration Universelle des Droits

de l’Homme, c’est le Droit à la Vie »

A l’occasion du 70ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de

l’Homme, la LICRA republie un texte écrit par René Cassin dans le Droit de Vivre n°200 du 1er Mars 1949

 

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté, et à la sûreté de sa personne. C’est en ces termes que s’exprime

la Déclaration universelle des Droit de l’Homme, adoptée le 10 décembre 1948 par l’Assemblée des Nation

Unies, sans un seul vote contraire, ni la Déclaration des droits américaine, ni la célèbre Déclaration française

de 1789, qui insistaient sur la liberté, n’avaient cru utile de proclamer le « droit à la vie », tellement celui-ci

paraissait naturel et digne de commander les autres.

Il a fallu d’abord la révolution technique, économique et sociale des XIXe, et XXe siècles pour qu’on se rendit compte que les plus précieuses libertés civiles et politiques demeurent précaires, si leur titulaire ne jouit pas d’un certain minimum de sécurité économique : le droit du travailleur à l’existence plus décente que celle qu’impose la dure « loi d’airain » a donc progressivement pénétré dans la législation des pays industrialisés et, plus tard, dans les constitutions des États ressuscités ou bouleversés par la première guerre mondiale. À la veille de la seconde, la Ligue française des Droits de l’Homme votait en 1936, à Dijon, un texte destiné à compléter la Déclaration de 1789 par les droits que les Déclarations de 1793 et 1848 avaient déjà amorcés : c’est « le droit à la vie » qui formait la clef de voûte de ce texte complémentaire.

Mais c’est l’avènement et le développement du fascisme et du racisme meurtriers qui, entre les deux guerres, a rendu plus évidente la nécessite de proclamer le caractère fondamental du « droit à la vie ». Plus le mépris de l’homme a été affiché, plus nombreuses ont été les violences et les pratiques barbares érigées en doctrine politique par le nazisme, plus amples ont été les massacres individuels ou collectifs dont l’apogée a été atteinte entre 1941 et 1944, et plus la protestation, puis la résistance d’une humanité trop longtemps divisée ou indifférente, sont devenues puissantes. Roosevelt a été un de ceux qui ont proclamé le sens de la deuxième guerre mondiale. Elle fut littéralement la « Croisade des droits de l’Homme ». Nul n’oserait affirmer que la victoire des peuples sur les protagonistes de l’Anti-89 ait réellement détruit ce vieux fond de haine, cette insatiable volonté de domination, de cupidité et cette mégalomanie de races ou de classes, soi-disant élues, ou supérieures, décidées à asservir les autres. Même parmi les anciens soldats du camp des peuples libres, combien ont perdu de vue l’enjeu suprême de la lutte en s’hypnotisant sur la concentration des moyens de lutte ?

Lire la suite

« A l’origine, Bereshit » : Demandez le programme

 

 

 
 

 

 

 

 

 

 

 

« A l’origine, Bereshit » : Demandez le programme

par admin

Depuis le mois de septembre 2018, Steve Suisse a été nommé à la succession du Grand rabbin Josy Eisenberg en tant que producteur et réalisateur des émissions. Les émissions israélites « A l’origine, Berechit » diffusées sur France 2 le dimanche matin dans le cadre des programmes « Les chemins de la foi », sont tournées au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme rue du Temple, l’un des plus grands musées européens consacré au judaïsme. Elles sont présentées par les Rabbins : Didier Kassabi, Michaël Journo, Michaël Azoulay, Alain Senior…

Les émissions se découpent en 3 modules :

Un dimanche sur deux 9h15- 9h30 : « Symbole » 15’ de programmes consacrés aux symboles, textes et rites du judaïsme. Les émissions tournées au MAHJ proposeront un entretien entre un rabbin et un invité autour d’un symbole cultuel du judaïsme. Un clip composé de photos et/ou vidéos illustrera le thème choisi.

Un dimanche sur deux, 45’ de programmes :

• « Découverte » 9h15 – 10h : ce programme, tourné au MAHJ, proposera un grand entretien avec un invité autour d’un thème général qui sera ensuite relié au judaïsme, l’émission sera entrecoupée d’interviews hors plateau sur le sujet, ainsi que de clips proposant à la fois des images et des photos en relation avec le thème. Ce programme sera également consacré aux grandes fêtes du judaïsme

• « Derrière les portes » 9h15 – 10h : plusieurs fois par an, ce programme de 45’ proposera un grand reportage de 20/25’ ouvrant les portes d’un lieu historique et/ou emblématique du judaïsme. Un plateau animateur/invité, complétera le sujet en début et fin de programme afin de développer ou accompagner le sujet.

Le 9 septembre 2018, les émissions « Découverte » sont inaugurées par le Grand rabbin de France, Haïm Korsia, à l’occasion de la fête de Roch Hachana. Réflexion sur ce que représente la nouvelle année, présentée par le Rabbin Didier Kassabi, rabbin de Boulogne Billancourt. L’année 2019 nous ouvrira les portes du Consistoire de France en compagnie de son Président, Joël Mergui. Histoire typiquement française, le Consistoire s’inscrit dans la République depuis sa création, quelles sont ses missions ?

Les émissions « Derrière les portes » se sont envolées en octobre 2018 à Tibériade, et ensuite Massada. Ces deux lieux emblématiques de l’histoire du peuple juif nous ont été dévoilés en compagnie de Valérie Perez et David Shapira. Tibériade, foyer du judaïsme après la destruction du Temple, et Massada, site témoin de l’un des plus tragiques épisodes de l’histoire juive.
Le 10 mars 2019, nous découvrirons le site de Qumran où furent découverts les Manuscrits de la Mer morte, plus anciens textes bibliques originaux connus à ce jour.

Enfin, deux rendez-vous majeurs pour clore cette année :
La fête de Hanoucca avec Bernard Henri Lévy, philosophe contemporain majeur, (photos jointes) et l’Appel National pour la Tsedaka en compagnie de Gad Elmaleh, parrain cette année, et Gilbert Montagné qui nous livre avec émotion son expérience de parrain.

Le 30 décembre, nous rediffuserons un entretien passionnant avec Francis Huster, comédien, autour de la musique : n’est-elle pas l’empreinte d’un peuple, d’une histoire ?

L’année 2019 s’annonce elle aussi riche en rencontres passionnantes.
Le 20 janvier, le rabbin Michaël Azoulay reçoit Corinne Lepage, à l’occasion de la fête de TouBichvat, fréquemment nommée fête de l’écologie dans le judaïsme.
Le 13 janvier, Marc Alain Ouaknin, producteur des émissions « Talmudiques », nous parlera de Freud à l’occasion de l’exposition au Mahj, en compagnie du rabbin Didier Kassabi.

Le 27 janvier, à l’occasion de la journée mondiale de la Shoah et de la date anniversaire de la libération d’Auschwitz, nous accompagnerons le Grand Rabbin de France Haïm Korsia à Auschwitz lors de son dernier voyage annuel, et en plateau le Rabbin Michaël Azoulay recevra le témoignage exceptionnel d’Elie Buzyn, rescapé.

L’année 2019 rencontrera d’autres personnalités passionnantes : Blandine Kriegel autour de Spinoza ; EmilieFrèche sur le vivre ensemble, Franz Olivier Giesbert et son questionnement sur Dieu et la foi, Michaël Sebban sur le Zohar; et, bien évidemment, des émissions spéciales à l’occasion des fêtes juives.

Les programmes sont disponibles en replay pendant 15 jours sur  https://www.france.tv/france-2/a-l-origine-berechit/

 

 

 

 

.