La cause palestinienne : un mensonge historique

 

La cause palestinienne : un mensonge historique

 

L’invention de la cause palestinienne par Bernard Botturi, titulaire d’un DEA de philosophie, d’un DEA de psychologie et sciences de l’éducation, d’un DEA d’histoire de l’antiquité, et d’un DESS de psychologie clinique et pathologique.
Il est l’auteur d’une traduction du Tao Tö King (le livre de la tradition du Tao et de sa sagesse), aux éditions du Cerf 1984, réédité en 1997

Depuis les défaites arabes des guerres 1948/49, la cause palestinienne avait été définitivement enterrée et cela pour plusieurs raisons, parmi celles nous en citerons deux principales :
• ses leaders tels Hajj Amin al-Husseini étaient décriés à cause de leurs collaborations notoires avec le nazisme.
• La cause palestinienne était une menace séparatiste qui aurait pu contaminer les différents pays arabophones
La “Cause” reçut son acte de décès par l’annexion de la Cisjordanie à la Jordanie et de la Bande de Gaza à l’Égypte et surtout par la relégation des réfugiés dans des camps sordides ne vivant que par l’aide de l’ONU. Les Palestiniens vivant dans les camps de réfugiés étaient dépourvus de tous droits, victimes de ségrégations multiples : interdictions professionnelles, interdictions de construire en dur, liberté de déplacement en dehors des camps plus que réduite, etc. Lire la suite

DE NOUVELLES ARMES FRANÇAISES POUR LE LIBAN 

 

DE NOUVELLES ARMES FRANÇAISES POUR LE LIBAN 

La France vient de livrer à l’armée libanaise, 10 nouveaux véhicules blindés, 90 missiles anti-char de type « HOT » et des systèmes sophistiqués de simulation de tir… 
Le gouvernement français poursuit son programme de renforcement de l’armée libanaise, dont la contribution s’élève à un demi milliard de dollars sur les cinq dernières années, selon l’ambassade de France à Beyrouth. 

La France connaît parfaitement les liens de connivence qui existent entre l’armée libanaise et l’organisation terroriste Hezbollah, bras armé de l’Iran des mollahs. 

Nul ne peut ignorer dans quelles mains finiront toutes ces armes. 

O.J.E.

 

“Juifs des pays arabes et d’Iran”: le sens de la “Journée du souvenir”   Prof. Shmuel Trigano

“Juifs des pays arabes et d’Iran”: le sens de la “Journée du souvenir”

 

Prof. Shmuel Trigano

 

Que celèbre-t-on dans “le jour du marquage de la sortie et de l’expulsion des Juifs des pays arabes et d’Iran”? Tout d’abord il faut dire que son instauration depuis 2014, sur la proposition de celui qui était alors député, Shimon Ohayon, constitue un acquis important. Mais la signification de cette journée et la façon dont on la célèbre, depuis, manquent de clarté. Sans doute parce qu’il y a un fossé entre le but de cette célébration, telle qu’elle est expliquée dans la Loi, “défendre les droits des réfugiés juifs à des réparations le jour où la paix sera conclue ” et la réalité objective, mais non reconnue, de ce qui est commémoré. Pourquoi est-il question de “marquage” et pas de “mémoire”? Pourquoi “Juifs des pays arabes et d’Iran et pas de Turquie? Et pourquoi n’est-il pas dit “des pays d’islam”, le critère qui unifie tous ces pays, ce que fait implicitement la loi, et qui fut le facteur de la conditiion des sépharades à travers l’histoire?

 

A quoi fait référence la “sortie”? Il s’agit en fait, tout simplement, d’évoquer la disparition, la liquidation, dans la violence,  d’un univers bi-millénaire en terres d’islam. La date de commémoration choisie qui pourrait nous renseigner n’est pas aussi claire: quel est le message de cette commémoration au lendemain du 29 novembre, date où l’ONU décida en 1947 du partage de la Palestine et de la création de deux Etats? Que la disparition du monde sépharade est la conséquence de la constitution de l’Etat d’Israel qui ainsi aurait causé (voire fomenté selon certains) la liquidation des communautés juives du monde arabe?  A moins que ce ne soit l’alya massive de ces Juifs répondant à l’appel messianique qu’ils entendaient venir d’Israël? Dans ces deux cas, c’est l’événement lui même qui est occulté et enterré. L’alya cache alors le drame qui précède et le messianisme la dimension politique de l’événement.

Lire la suite