LA JUSTICE PERD LES CODES

 

23 novembre, 05:14

LA JUSTICE PERD LES CODES

La justice est l’un des principaux vecteurs du séparatisme ethnique, religieux et multiculturel. Quand un tribunal acquitte un migrant violeur parce qu’il n'”a pas les codes”, ce tribunal trahit sa mission unique de graver dans les cœurs et les corps des citoyens le code culturel de la société qui accueille les migrants mais qui aussi rémunère les juges. Le code de la société qui accueille les migrants et qui paye les juges, c’est : on ne viole pas une femme ou une jeune fille qui dit non. Et si le violeur n'”a pas les codes”, eh bien, à la justice de lui graver ces codes dans le corps par quelques années de prison. 

C’est cette même trahison du code culturel de la nation française qui, dans le cas du meurtre de Sarah Halimi, pousse le magistrat instructeur à multiplier les expertises psychiatriques pour ne pas qualifier d’antisémite le meurtre à coups de poings et par défenestration d’une vieille dame juive. Qualifier de “déséquilibré” un islamiste assassin d’une femme juive, c’est lui reconnaître le droit à méconnaître le code culturel de la société française : on ne tue pas les juifs parce qu’ils sont juifs. On ne viole pas une jeune fille parce qu’on refuse d’entendre son NON. Cette justice de l’excuse trahit sa mission constitutionnelle d’appliquer la loi sans l’interpréter.

Idem pour l’école. Apprendre l’arabe au même titre que le français à des élèves d’origine maghrébine dans le primaire, c’est relativiser la culture de la société d’accueil par la culture de la société accueillie. Par un raccourci saisissant, on pourrait dire que l’école fabrique les futurs violeurs et les futurs assassins de juifs.
Par un autre raccourci saisissant, on pourrait dire que c’est l’école et la justice françaises qui ont perdu les codes.