Où est passée la déontologie ?

Il y a un nouveau “jeu” dans la Presse : c’est à celui qui tirera le plus sur Israël, quitte à mentir et désinformer.
Mais, hélas, ce n’est pas nouveau.
Quand les Forces Israéliennes “neutralisent” un terroriste qui vient de commettre un attentat, que titre la Presse :
– pour l’AFP (Agence France Palestine), c’est “Un palestinien abattu par des soldats israéliens,
– Pour Libération, c’est “Un combattant palestinien assassiné par des soldats israéliens”
– Pour Le Monde, c’est “Nouvelle Victime Palestinienne dans les Territoires Occupés”.
Ca suffit !
Où est passée la déontologie ? Derrière le volume de ventes.
Et si cela provoque une montée de l’antisionisme et de l’antisémitisme ? “Les Juifs qui sont Sionistes sont des soutiens d’assassins”, voilà la réponse.
Où sont passés les véritables Journalistes ? c’est une Profession en voix d’extinction. Maintenant nous avons des journaleux.
Respectueusement.

 

 

 

Marcel Apeloig Nous passons beaucoup de temps à nous convaincre que ce nous pensons est la “vérité”. C’est à dire que nous tournons en rond. Nous, nous savons et connaissons la réalité de histoire de cette région. Nous connaissons les droits et les héritages de chaque couche des populations qui habitent cet ancien territoire nommé autrefois “Palestine”. Aussi, continuer à se convaincre nous-même nous ne faisons que faire saigner davantage une plaie douloureuse. C’est vers nos “ennemis” qu’il faut se tourner. Parmi nous, beaucoup sont des citoyens lambdas qui ont des relations au niveau familial et d’amitiés mais ne côtoient pas les “puissants”, les décideurs et ceux (celles) qui tiennent les rênes du pouvoir. En revanche quelques uns (unes) ont des relations avec ces derniers. Il est peut-être temps de les interpeller ces gens là. On ne peut plus continuer comme ça. Soutenir une gouvernance qui d’un côté affirme qu’elle veut nous protéger, mais d’un autre côté, mène une politique étrangère dans le sens contraire. Et aussi, tiennent des propos ambigus beaucoup trop “diplomatiques”. Quand le président évoque le droit des Palestiniens et qu’il continue à affirmer que la seule solution passe par deux états, il sait qu’il affirme du “creux” et du “vide”. Pourquoi continue-t-il ? Il est temps de lui demander.

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